Page 52 - catalogue 2017
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UnE PEnDUlE AUX TrOiS AMOUrS
A PUTTO MAnTEl clOcK
Bronze doré d’époque Louis XV, vers 1755-1760
Le cadran signé Ferdinand Berthoud, le mouvement signé Ferdinand Berthoud à Paris
Modèle du bronzier Saint-Germain
Hauteur :53 cm. (21 in.) largeur :32 cm. (12 ½ in.) Profondeur :19 cm. (7 ½ in.)
Peu d’exemplaires de ce modèle sont connu :
Une signée également par Berthoud illustrée dans P. Heuer & K. Maurice, Europäische Pendeluhren, Munich, callwey,
1988, p. 27, no. 23
Une signée par Julien leroy reproduite P. Kjellberg, Encyclopédie de la Pendule Française du Moyen Age au XXe siècle,
Paris, les Editions de l'Amateur, 1997, p. 119
Ferdinand Berthoud, Horloger mécanicien du roi et de la marine, MiH Musée international d’Horlogrie la chaux-
de-Fonds Suisse 1984 par catherine cardinal.
Ferdinand Berthoud (1727-1807) Maître le 31 décembre 1753
Ses premiers travaux théoriques, une pendule à équation, furent approuvés par l’Académie des Sciences en 1752 Deux
ans plus tard, elle récompensait une nouvelle pendule et une montre à équation. la même année, Berthoud déposa ses
premières conclusions concernant les horloges marines à l’étude desquelles il devait désormais se consacrer.
Horloger Mécanicien de Sa Majesté et de la Marine ayant l’inspection de la construction des Horloges Marines le 24 juillet 1764
Membre pour la commission Temporaire des Arts 1793
Membre de l’Institut 1795
Louis XV lui accorde 6.000 livres pour l’impression du Traité des Horloges Marines.
Dès 1753, il publiait une « lettre sur l’Horlogerie » Et ne s’arrêta pas de publier de nombreux ouvrages importants sur
l’horlogerie.
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A PUTTO MAnTEl clOcK
Bronze doré d’époque Louis XV, vers 1755-1760
Le cadran signé Ferdinand Berthoud, le mouvement signé Ferdinand Berthoud à Paris
Modèle du bronzier Saint-Germain
Hauteur :53 cm. (21 in.) largeur :32 cm. (12 ½ in.) Profondeur :19 cm. (7 ½ in.)
Peu d’exemplaires de ce modèle sont connu :
Une signée également par Berthoud illustrée dans P. Heuer & K. Maurice, Europäische Pendeluhren, Munich, callwey,
1988, p. 27, no. 23
Une signée par Julien leroy reproduite P. Kjellberg, Encyclopédie de la Pendule Française du Moyen Age au XXe siècle,
Paris, les Editions de l'Amateur, 1997, p. 119
Ferdinand Berthoud, Horloger mécanicien du roi et de la marine, MiH Musée international d’Horlogrie la chaux-
de-Fonds Suisse 1984 par catherine cardinal.
Ferdinand Berthoud (1727-1807) Maître le 31 décembre 1753
Ses premiers travaux théoriques, une pendule à équation, furent approuvés par l’Académie des Sciences en 1752 Deux
ans plus tard, elle récompensait une nouvelle pendule et une montre à équation. la même année, Berthoud déposa ses
premières conclusions concernant les horloges marines à l’étude desquelles il devait désormais se consacrer.
Horloger Mécanicien de Sa Majesté et de la Marine ayant l’inspection de la construction des Horloges Marines le 24 juillet 1764
Membre pour la commission Temporaire des Arts 1793
Membre de l’Institut 1795
Louis XV lui accorde 6.000 livres pour l’impression du Traité des Horloges Marines.
Dès 1753, il publiait une « lettre sur l’Horlogerie » Et ne s’arrêta pas de publier de nombreux ouvrages importants sur
l’horlogerie.
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